Publié en mai 2011

Dernière modification en octobre 2025

SOUTIEN DE L'EXPLOITATION

L’exploitation d’un équipement, d’un système ou d’une installation regroupe de nombreuses activités de différentes natures.

La contribution de l’ingénieur.e à ces activités permet de maximiser la productivité et la pérennité des actifs tout en réduisant les coûts. Selon le type d’exploitation (infrastructures, procédés de fabrication ou services), elle peut se faire non seulement en améliorant la productivité, mais aussi en considérant des éléments tels que:

  • la variabilité, pour améliorer les produits ou des systèmes
  • la robustesse, pour accepter les variations dans les intrants (primaires et secondaires)
  • la fiabilité, pour optimiser l’entretien
  • la flexibilité, pour permettre des changements soit dans l’utilisation des équipements, soit dans les procédures d’opération
  • la polyvalence, pour permettre la production de plusieurs types de produits ou de services ou pour créer de la valeur ajoutée
  • la capacité opérationnelle, pour faciliter l’opération générale
  • l’environnement, pour minimiser les impacts environnementaux
  • les facteurs humains, notamment pour améliorer la santé et la sécurité ainsi que la productivité
  • les aspects légaux, pour gérer les certifications

Le fait que les activités liées à l’exploitation soient de natures fort différentes exige de l’ingénieur.e  une certaine polyvalence, tant dans ses connaissances techniques que dans ses connaissances générales et son savoir-être. En effet, l’ingénieur.e responsable de l’exploitation a souvent accumulé une vaste expérience dans des domaines variés et est amené.e à collaborer avec des personnes ayant différents niveaux et types de qualification, comme des scientifiques, des opérateur.trice.s, des technicien.ne.s ou des gestionnaires.

L'exploitation comprend plusieurs volets successifs:

Cliquer sur les différents volets pour voir la description

Chacun de ces volets peut faire partie du mandat d’un.e ingénieur.e travaillant en exploitation. Les sections suivantes présentent les principales activités liées au soutien de l’exploitation et précisent les rôles et responsabilités qui peuvent lui être attribués.

Mise en route (ou start-up)

La mise en route est l’étape au cours de laquelle s’effectue le démarrage des équipements, des systèmes ou des installations après une période d’arrêt (planifié ou non) et dans l’objectif d’une opération en continu.

La mise en route suppose que les équipements, les systèmes ou les installations ont déjà fait l’objet d’une mise en service en bonne et due forme, incluant les essais et les réglages préalables requis. La mise en route comporte les activités suivantes:

  • le démarrage des équipements, des systèmes ou des installations
  • l’approvisionnement et la disponibilité des équipements pour assurer l'opération en continu
  • la formation du personnel

Démarrage

Le démarrage des équipements, des systèmes ou des installations est une étape cruciale qui nécessite une bonne préparation et une bonne évaluation des risques pouvant subvenir afin d’éviter toute situation non souhaitée.

L’ingénieur.e responsable du démarrage s'assure, en collaboration avec les différentes parties prenantes, que les impacts sur les ouvrages connexes et sur les ressources sont connus et contrôlés.

La préparation du démarrage doit tenir compte des besoins en matières premières et en main-d’œuvre ainsi que des ajustements et des réglages qui peuvent être requis.  

Quelles qu’elles soient, les ressources doivent être disponibles en quantité, en qualité, en temps et au lieu voulus.

Approvisionnement et disponibilité des ressources matérielles

L’ingénieur.e responsable de l’approvisionnement s’assure que les ouvrages peuvent fonctionner en continu et, à cette fin, il ou elle collige l’information suivante:

  • les pièces de rechange
  • les matériaux d’utilisation courante et les consommables
  • les outils standards et spécifiques requis pour le personnel d’entretien
  • les équipements de laboratoire
  • les systèmes de communication
  • les accessoires de travail
  • les équipements de protection individuelle (EPI)
  • tout autre matériel ou équipement pertinent

Enfin, l’ingénieur.e responsable de l’approvisionnement prépare le calendrier d’acquisitions et d’achats et s'assure que celui-ci est respecté.

Formation du personnel

La formation du personnel attitré au démarrage d’un équipement, d’un système ou d’une installation est essentielle, car elle fait partie intégrante des conditions permettant d’assurer la sécurité et l’efficacité d’une mise en route.

Le programme de formation en lien avec la mise en route doit être préparé par l’employeur en collaboration avec l’équipe de santé et sécurité, le service technique, le département d’ingénierie, l’équipe d’opération, l’équipe d’entretien et parfois même avec l’appui de fournisseurs externes.

Les ingénieur.e.s responsables des équipes d’opération s'assurent que le programme de formation est suivi par les personnes auxquelles il s’adresse et veillent à ce que celles-ci maintiennent à jour les connaissances requises.

Soutien technique

Le soutien technique couvre les activités ponctuelles et spontanées liées au fonctionnement d’un équipement, d’un système ou d’une installation faisant appel à des notions d’ingénierie. Le soutien technique est au cœur des activités suivantes:

  • activités d’opération 
  • gestion de la production
  • arrêts
  • activités d’entretien
  • interventions de dépannage
  • amélioration continue
  • suivi de la qualité
  • santé et sécurité
  • environnement 
  • support et formation
  • vente et approvisionnement

Activités d’opération

L'opération consiste à exercer, sur une base régulière, une série d’activités interdépendantes visant à assurer le fonctionnement normal et sécuritaire d’un équipement, d’un système ou d’une installation.

La préparation des procédures ou des méthodes d’opération consiste à planifier, organiser et documenter les étapes requises pour l'opération d’un équipement, d’un système, d’un ouvrage ou d’une installation.

Elle vise également à fournir aux utilisateurs un document de référence regroupant, sans s’y limiter, les informations suivantes:

  • Titre et champ d’application
  • Responsabilités
  • Équipements de protection individuelle (EPI) requis
  • Conditions préalables (inspections, vérifications préopérationnelles, etc.)
  • Séquence d’opérations:
    • mise en route (start-up)
    • fonctionnement normal
    • ajustements et surveillances
    • arrêt normal
    • arrêt d’urgence (si applicable)
  • Consignes de sécurité particulières (cadenassage, zones d’exclusion, risques spécifiques)
  • Références (normes, manuels du fabricant, réglementation)

L’ingénieur.e responsable de l’opération devrait s’assurer que toutes les procédures d’opération et autres documents de référence sont:

  • dans la langue appropriée
  • compréhensibles et utilisables par les opérateurs (en intégrant, par exemple, des éléments visuels tels que des photos)
  • facilement accessibles aux intervenants concernés

Afin de faciliter la gestion de l’opération, l’ingénieur.e qui en est responsable devrait s’assurer que les éléments suivants sont consignés pour l’ensemble de l’ouvrage ou de l’installation ou, si leur complexité le justifie, pour chaque équipement ou système séparément.

  • Identification de l’équipement
    • nom usuel et fonction
    • numéro d’identification (tag, code interne, numéro d’actif)
    • localisation physique (bâtiment, secteur, ligne)
    • fournisseur, modèle, numéro de série, année d’installation
  • Données techniques
    • capacités nominales (pression, débit, puissance, température, vitesse, etc.)
    • conditions normales d’utilisation (plages de fonctionnement sécuritaires)
  • Procédures ou méthodes d’opération
  • Exigences de sécurité
    • risques identifiés (mécaniques, électriques, chimiques, thermiques, etc.)
    • mesures de prévention (EPI, zones de protection, barrières physiques)
    • procédures de cadenassage
    • alarmes, interverrouillages et systèmes de protection intégrés
    • plans de mesures d'urgence, d'évacuation et des lieux de rassemblement (SST)
    • informations sur les matières dangereuses incluant les fiches SIMDUT (entreposage et disposition)
  • Suivi opérationnel
    • paramètres à consigner (pression, température, débit, intensité, etc.)
    • journaux de bord ou registres d’opération (date, heure, opérateur, observations)
    • alarmes et incidents consignés
    • indicateurs de performance (rendement, efficacité, qualité, consommation énergétique, etc.)
  • Documentation de référence
    • manuels du fabricant
    • description fonctionnelle et logique de contrôle (automatisation)
    • plans et schémas (mécanique, électrique, instrumentation, P&ID) à jour
    • normes et réglementations applicables

Gestion de la production ou de l’utilisation

La gestion de la production ou de l’utilisation a pour objectif principal de permettre une production ou une utilisation optimale d’un ouvrage ou d’une installation. Elle comporte, sans s’y limiter, les activités suivantes:

  • Assurer, au moyen d’un tableau de bord, un suivi de la production au moyen de paramètres ciblés et mesurables permettant d’en analyser les statistiques.
  • Surveiller l’état des contrôles (automatisation ou autres) et leur réponse.
  • S’assurer de l’approvisionnement des intrants (primaires et secondaires) en fonction de la demande en production.
  • S’assurer du roulement des produits entreposés et des conditions d’entreposage.
  • S’assurer de la performance du service d’assurance qualité et de contrôle de la qualité (réf. : normes ISO 9000, ISO 14000 ou autres).
  • S’assurer de la conformité légale des produits finis et de la normalisation (p. ex. certifications de produits, certifications d’équipements, étiquetage, affichage, emballage, transport, propriété intellectuelle et brevets).
  • Voir à l’optimisation de l’opération et mettre en place des processus d’amélioration continue et de réduction des coûts.
  • Optimiser la fiabilité des équipements et des systèmes.

Arrêts 

Il existe différents scénarios d’arrêt:

  • arrêt planifié (ex. : entretien préventif ou correctif) 
  • arrêt d’urgence
  • arrêt temporaire
  • arrêt saisonnier
  • arrêt permanent (ex. : déclassement)

L’ingénieur.e responsable des arrêts devrait s’assurer que les procédures d’arrêts existent, sont respectées et que les différents intervenants communiquent efficacement entre eux.

Son rôle consiste, sans s’y limiter à:

  • Définir les objectifs de l’arrêt (entretien, inspection, remplacement, mise à niveau).
  • Établir un plan de travail détaillé (séquence des opérations, durée, ressources nécessaires).
  • Participer à la gestion des risques en impliquant les parties prenantes concernées.
  • Effectuer la coordination nécessaire avec les différents services impliqués (opérations, entretien, approvisionnement, production, etc.).

Activités d’entretien

L’entretien (ou la maintenance) regroupe un ensemble d’activités coordonnées visant à préserver ou à rétablir l’état de fonctionnement d’un équipement, d’un système ou d’une installation tout au long de son cycle de vie. Ces activités comprennent, par exemple, l’inspection, le nettoyage, le réglage, la réparation et le remplacement de composants.

La préparation des procédures ou des méthodes d’entretien consiste à planifier, organiser et documenter les étapes requises pour effectuer correctement et de manière sécuritaire la maintenance préventive, corrective ou prédictive d’un équipement, d’un système, d’un ouvrage ou d’une installation, et ce, dans le but d’en assurer la fiabilité, la disponibilité et la sécurité.

Elle vise également à fournir au personnel d’entretien un document de référence regroupant, sans s’y limiter, les informations suivantes:

  • Titre et champ d’application
  • Responsabilités 
  • Équipements de protection individuelle (EPI) requis
  • Conditions préalables (arrêt sécuritaire, cadenassage, purge, ventilation, permis de travail)
  • Séquence d’entretien :
    • préparation de l’intervention
    • démontage des composants
    • inspection, remplacement ou remise en état
    • remontage et ajustements
    • essais et vérifications
  • Consignes de sécurité particulières (risques mécaniques, électriques, chimiques, thermiques, zones d’exclusion)
  • Références (normes, manuels du fabricant, schémas, réglementation)

L’ingénieur.e responsable devrait s’assurer que toutes les procédures d’entretien et autres documents de référence sont:

  • dans la langue appropriée
  • compréhensibles et utilisables par les usagers (en intégrant, par exemple, des éléments visuels tels que des photos)
  • facilement accessibles aux intervenants concernés

L’ingénieur.e responsable de l’entretien évalue, en fonction des recommandations des manufacturiers, quels équipements ou systèmes nécessitent une planification de maintenance plus rigoureuse en raison de leur criticité ou de leur complexité. Il ou elle s’assure également que les programmes d’entretien en place respectent au minimum les prescriptions des manufacturiers afin de préserver la validité des garanties.

L’ingénieur.e responsable de l’entretien peut ensuite procéder à la planification et à l'ordonnancement des activités d’entretien des équipements ou des systèmes constituant l’ouvrage ou l’installation.

Afin de faciliter la gestion de l’entretien, l’ingénieur.e qui en est responsable devrait s’assurer que les éléments suivants sont consignés pour l’ensemble de l’ouvrage ou de l’installation ou, si leur complexité le justifie, pour chaque équipement ou système séparément:

  • Identification de l’équipement
    • nom usuel et fonction
    • numéro d’identification (tag, code interne, numéro d’actif)
    • localisation physique (bâtiment, secteur, ligne)
    • fournisseur, modèle, numéro de série, année d’installation
  • Données techniques
    • capacités nominales (pression, débit, puissance, température, vitesse, etc.)
    • conditions normales d’utilisation (plages de fonctionnement sécuritaires)
  • Procédures et méthodes d’entretien
  • Plan d’entretien préventif : fréquences, échéances, gammes d’entretien, priorités
  • Consommables requis (lubrifiants, filtres, fluides, etc.)
  • Pièces de rechange et ressources nécessaires
    • niveau d'inventaire (min-max)
    • disponibilité en stock
    • fournisseurs acceptés
  • Exigences de sécurité
    • risques identifiés (mécaniques, électriques, chimiques, thermiques, etc.)
    • mesures de prévention (EPI, zones de protection, barrières physiques)
    • procédures de cadenassage
    • permis de travail nécessaires
    • informations sur les matières dangereuses incluant les fiches SIMDUT (entreposage et disposition)
  • Suivi de l’entretien
    • historique d’entretien et d’interventions (préventives, correctives et prédictives réalisées, dates, intervenants, résultats)
    • indicateurs de performance et de fiabilité (taux de disponibilité, MTBF [Mean Time Between Failures], MTTR [Mean Time To Repair], coûts d’entretien, etc.)
  • Documentation de référence
    • manuels du fabricant
    • description fonctionnelle et logique de contrôle (automatisation)
    • plans et schémas (mécanique, électrique, instrumentation, P&ID) à jour
    • normes et réglementations applicables.

Interventions de dépannage (troubleshooting)

Les interventions de dépannage sont des activités ponctuelles nécessitant une action rapide de l’ingénieur.e responsable afin de résoudre un problème urgent (troubleshooting).

En premier lieu, l’ingénieur.e consigne les faits relatifs au problème et les informations disponibles. Il ou elle s’assure en priorité de la sécurité des personnes et des biens potentiellement affectés, ainsi que de la protection de l’environnement. Si l’ingénieur.e ne possède pas l’expertise requise pour résoudre le problème, il ou elle en avise l’équipe concernée et l’assiste dans la recherche d’un expert dont le champ de compétence est adapté à la détermination et à la mise en œuvre d’une solution (ex. : expert en métallurgie).

Ensuite, l’ingénieur.e vérifie les faits directement auprès des usagers, rassemble les données, effectue des essais et analyse la situation dans son ensemble afin de déterminer la nature exacte du problème. Pour ce faire, il ou elle peut utiliser une méthode d’analyse telle que l’arbre des causes fondamentales.

Enfin, l’ingénieur.e recommande une solution appropriée aux circonstances, informe les parties concernées des risques associés à cette solution et supervise sa mise en œuvre. Il ou elle assure également le suivi et communique aux parties concernées tout coût éventuel encouru.

Si le problème persiste ou semble récurrent, l’ingénieur.e prend des mesures d’amélioration continue et en évalue l'incidence sur l’ensemble des opérations avant de réaliser des modifications permanentes.

Amélioration continue

L’ingénieur.e responsable de l’amélioration continue a pour mandat d’optimiser la performance de l’ouvrage ou de l’installation en apportant des modifications ciblées aux équipements ou aux systèmes. L'amélioration continue peut être requise, par exemple, pour:

  • augmenter la performance ou la sécurité de certains équipements
  • intégrer de nouvelles technologies
  • résoudre des problèmes récurrents
  • améliorer la qualité des produits
  • accroître la productivité par l'ajout de robots ou par l'automatisation des procédés
  • réduire la consommation de ressources ou d’intrants

Ces changements peuvent se faire en équipe en utilisant, par exemple, une méthode d'amélioration continue du type LEAN 6 sigma.

L’ingénieur.e responsable de l’amélioration continue prépare, ou fait préparer par une ressource externe s’il ou elle n’a pas les compétences requises, des études techniques visant à évaluer l’impact d’un changement sur la performance globale de l’ouvrage ou de l’installation.

Le simple remplacement d’un équipement en fin de cycle par un équivalent ne constitue pas une démarche d’amélioration continue.

Santé et sécurité

Dans le cadre de ses fonctions, l’ingénieur.e responsable de la santé et de la sécurité peut assumer plusieurs responsabilités, comme, par exemple:

  • Veiller à la santé et à la sécurité du personnel et, le cas échéant, du public, en s’assurant du respect de la Loi sur la santé et la sécurité du travail.
  • Suivre les indicateurs SST, les accidents, incidents et quasi-accidents, ainsi que les actions correctives mises en place, afin d’intégrer les leçons apprises dans sa pratique.
  • S’assurer que des analyses de risques sont réalisées pour toute nouvelle acquisition, conception ou modification.
  • S’assurer que les équipements et leurs protections respectent les normes de sécurité des machines.
  • S’assurer que toute modification susceptible d’impacter la santé et la sécurité des travailleurs est effectuée sous la supervision d’un.e ingénieur.e responsable d’en attester la sécurité (réf. : article 176 du RSST)
  • Contribuer à l’élaboration et à la mise en œuvre du plan de mesures d’urgence.
  • Participer activement au comité de santé et sécurité au travail (SST).

Protection de l’environnement

L’ingénieur.e responsable de la protection de l’environnement veille à ce que les activités d’exploitation soient conduites de manière à minimiser les impacts environnementaux et à respecter toutes les obligations légales, réglementaires et normatives.

Dans le cadre de ses fonctions, l’ingénieur.e responsable de la protection de l’environnement peut assumer diverses responsabilités, comme, par exemple:

  • Veiller à ce que les activités d’exploitation respectent les lois, règlements et normes environnementales.
  • Identifier les risques environnementaux et mettre en place des mesures de prévention et de contrôle adaptées.
  • Suivre les indicateurs de performance en environnement, les accidents, incidents et quasi-accidents, ainsi que les actions correctives mises en place, et ce, afin d’intégrer les leçons apprises dans sa pratique.
  • Surveiller et contrôler les émissions, les rejets, les déchets et l’utilisation des ressources.
  • Analyser les incidents environnementaux et recommander des actions correctives.
  • Proposer et coordonner des initiatives d’amélioration continue pour réduire l’empreinte environnementale.
  • Sensibiliser et former le personnel aux bonnes pratiques et procédures environnementales.
  • Collaborer avec les différents services pour intégrer la protection de l’environnement dans toutes les activités d’exploitation.

Ressources

LIENS ET RÉFÉRENCES DE L'ORDRE

  • Formations virtuelles
Zoom sur trois étapes clés d'un projet d'ingénierie        

 

 

 



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Avertissement : Le Guide de pratique professionnelle constitue un outil de référence et d’accompagnement des ingénieurs au Québec. Il est une source d’information générale et ne constitue aucunement une opinion, un avis ou conseil juridique. Son contenu ne doit pas être interprété pour tenter de répondre à une situation juridique particulière.